Transformations et réformes de l’orthographe
La langue française devient de plus en plus évoluée et se transforme davantage tant sur le lexique que sur le vocabulaire depuis l’édition du dictionnaire de l’académie. Cette évolution du français laisse parfois une certaine ambiguïté au niveau des contraintes de l’étymologie et de la prononciation. Il est tout à fait compréhensible que les transformations et réformes de l’orthographe demandent de l’adaptation mais c’est surtout sur la pratique qu’on voit les différentes nuances et les difficultés de ces transformations, du moins pour certains. Mais n’empêche que face à cette évolution du français, l’académie cherche à faciliter l’adaptation de chacun à ces changements surtout du fait du développement de l’institution scolaire. Les rectifications orthographiques se trouvent surtout sur la jointure des noms composés comme portefeuille et de l’harmonisation de leur pluriel avec ceux des noms simples comme les porte-bagages, puis la suppression des accents circonflexes comme paraitre, ou encore le respect de l’orthographe sur le pluriel des noms étrangers comme les médias, et bien d’autres réformes qui donnent en bref plus de souplesse sur l’évolution du français.
Evolution du français: féminisation des mots
La féminisation des mots entrent aussi dorénavant dans le cadre de l’évolution du français. Certes, cela n’était pas toujours pensé ni pris en considération mais l’académie française a trouvé que c’était plutôt une bonne idée de distinguer surtout ce qui peut être féminin et ce qui reste au masculin. De ce fait, l’évolution du français a donné lieu notamment à la féminisation des noms de métiers et fonctions qu’elle trouve correcte et plus juste quand la paraît utile comme la directrice, la pharmacienne, là il est question de donner de l’importance à la valeur des femmes et c’est réussi. L’évolution du français exclue toutefois les formes de barbarisme comme féminiser ce qui ne peut pas l’être comme procureure, auteure, etc…Des règles spécifique stipulent en tout cas l’élimination de ces cas de figures pour ne pas dévaloriser la langue française.